Pour ce post, j’aimerais rester sur le recueil « Résurgences ». Comme je vous l’ai dit, il y a 3 histoires rimées et cette semaine je voudrais vous partager le deuxième, celle intitulée « 2 ans » !
C’est l’histoire d’un monsieur qui est accusé d’un crime. À tort mais, suite à une enquête bâclée, il n’est libéré que 2 ans après (d’où le titre), quand on retrouve, par hasard, le vrai coupable.
Une des poésies-paragraphes dit ceci :
Sur le mur, avec une craieJ’ai mis vos jours comme mes nuits
Un jour perdu égale un trait
Une barre pour les cinq enfouis
Il y a de quoi attraper le spleen, non ? C’est en page 36 et, en page 37 on peut lire :
…Puis on se dit : « Quelle importance
Que tu sois coupable ou non
Tout dépendra de la sentence
C’est elle qui remplit les prisons. »
Bien sûr, nous savons que ce n’est pas lui le coupable, qu’il sera libéré… 2 ans plus tard ! Aussi, que dit la poésie-paragraphe de fin ?
Et c’est dans « Résurgences »… Vous aimez la poésie ? Vous aimez le polar ? Vous aimez les nouvelles ? Vous aimez les coups de théâtre ? Résurgences : à lire de toute urgence !
Tout comme Racine, Shakespeare ou Rostand, ça aussi, c’est de la poésie. Non ?
Bonne semaine poétique
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures ; avidoxe ; cap. Margenspat ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman ; V.DiMarco et VittorioDenim
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