Le jour où on m’a posé cette question, j’ai répondu : « Chacun la trouve dans son cœur. »
Ben oui, parce que dans « Le petit Prince », Antoine de Saint-Exupéry fait dire au renard : « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »
Et j’y crois, la poésie est en nous ; même les esprits les plus tordus ont un fond d’humanité. Donc, si elle est en nous, elle est aussi chez les autres.
Aussi, voici une poésie de Patrick Frickert qui m’a un peu étonnée ; elle concerne, je suppose, son collègue Vittorio Di Marco qu’il appelle Victor :
Victor,
plongé dans ses poèmes
Dans le silence feutré d’une nuit sans fin,
Victor s'enlace aux mots, aux vers qui se dessinent.
Plongé dans l’océan des rimes et des sons,
Son âme vagabonde, se perd en mille chansons.
Les
pages se tournent, le monde se tait,
Sous la plume agile, les maux se défont.
Chaque strophe est un rêve, un fragment de l’être,
Où Victor se trouve, où Victor se perd.
Ses
pensées voyagent, au gré des étoiles,
Cherchant dans l'infini les secrets du voile.
Les poèmes l’enlacent, l’envoûtent, l’émerveillent,
Victor s’y plonge, s’y noie, et s’y réveille.
Les deux amis font le Tandem Littéraire quand ils écrivent leurs « polars régionaux » plus centrés en Sud-Alsace. Mais de quelles poésies parle-t-il ? De « 150 nuances de poésies », je pense puisque ce recueil permet de connaître « les » différentes variantes de la rime en genre et en nombre et en donne des exemples !
Bravo Patrick, c’est apprécié de soutenir ton collègue et ami Victor et vive la poésie.
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Antoine Askman ; Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim
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