Un... essai 😉 sur les mots qui décoiffent 😁
Comment parler de poésie sans prendre deux vers… mais sans saouler personne ?
Réponse : en y mettant le ton ! Et là, c’est du pain béni qui vient à toi, un ensemble à dévorer avec le cœur. C’est un repas pour l’esprit épris, un repos une fois repu !
En fin de compte, la poésie est partout autour de nous mais seuls quelques-uns, quelques-unes, peuvent la voir, la toucher et y goûter, la sentir et l’entendre, s’en imprégner et la partager.
En voici quelques vers trouvés dans « En vers la Vie » page 95 :
LES SIX SENS DE L’EXISTENCE
Être le matin / Dans une clairière / Pour voir le soleil / À son lever.
Toucher d’une main / Mais sans rien faire / Toutes les merveilles / Qu’on peut trouver
Sentir un moment / L’odeur des roses / Respirer l’air frais / Humide un peu
Entendre le vent / Qui dans les ronces / Crie tous les secrets / Des temps plus vieux
Goûter tous les fruits / Même les mûrs / Et se rappeler / De leur saveur
Et faire partie / De la nature / pour y communier / … Avec son cœur.
Voilà, après ça, je pense que ceux qui ne voient pas la poésie sont bien malheureux (c'est comme s'ils n'avaient plus de cheveux 😏 ; à quoi pourrait leur servir un peigne ?). Je suis triste pour eux ! Enfin, un peu, quoi ! Chacun ses choix.
À bientôt
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Antoine Askman ; Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim
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