La poésie perdue des persifleurs peu ou pas écolos

 

Autrefois, les écologistes étaient des poètes qui défendaient la nature par le dialogue et cela donnait de beaux résultats. Aujourd’hui, des personnes violentes se sont introduites dans les rangs des écolos et elles tuent pour des idées juste parce qu’elles sont différentes. L’humanité a perdu la poésie.

Faut-il, dans ce cas, encore les appeler ‘humains’ ? Où est la valeur humaine des bipèdes actuels ? La poésie a foutu le camp depuis longtemps chez ces gens manipulés par le pognon et les partis politiques.

Donc, aujourd’hui, pas de poésie mais un discours en rime pour montrer qu’il y a de la résistance à ces faux écolos qui affrontent un pouvoir élu par eux-mêmes, les abstentionnistes. Voici :

Chers amis, chers administrés, il faut savoir
Que jusqu’ici j’ai tenu les comptes au plus prés
Et, tant que la confiance que vous m’accordez
Sera entre nous, je me ferai un devoir
D’agir pour vous, en votre nom, indépendant
Des politiques et des partis. Je garderai
Notre commune, comme toujours, dans le vrai
Et dans le bien commun. Toujours, honnêtement.

Eh oui, la poésie résistera malgré le noir qui veut s’emparer du vert !

Texte pris en page 32 de « 150Nuances de Poésies ».  

Bonne semaine et bonnes lectures

À bientôt

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Merci d’aller les visiter de temps en temps et puisque vous y êtes, abonnez-vous.

N’hésitez pas non plus à visiter notre vitrine pour les Ateliers d’écritutreS : « ADES68 – Riedisheim » pour voir qui nous sommes et ce que nous faisons en atelier. Et, partagez, partagez.

ADES-68-R - Reprise de l'atelier d'écriture

 

Riedisheim littéraire, écris ton nom

Bonne nouvelle, la saison 2022/2023 de Riedisheim a recommencé et pour le premier atelier « poésie-nouvelle » de la saison, nous étions contents de nous retrouver. Ainsi, nous avons évoqué certains futurs projets d’écriture rassemblés grâce aux vacances.

Cette fois-ci, c’était juste pour une prise de contact. Le but était de fournir quelques informations utiles aux anciens et notre façon de procéder aux nouveaux. Ce qui a permis de favoriser une discussion sur les sujets de préférences à traiter durant l’année aussi bien pour les poésies que pour les nouvelles.

Les changements ne sont pas nombreux :

Un : le jour et l’heure restent les mêmes mais les réunions se feront les 2^ème et 4^ème mardis de chaque mois, y compris pendant les vacances scolaires.

Deux : nous pouvons accepter de nouveaux membres puisque nous allons changer de salle. Une salle plus grande est prévue, nous ouvrant plus de possibilités de nous exprimer ; écrire, bouger, essayer les textes.

Trois : grâce à cette salle, nous pourrons préparer le spectacle pour le printemps des poètes. Pour cela, nous aurons droit aussi à l’accès de la scène du théâtre. 

Quatre : Notre animateur, Vittorio, sera le 29 et 30 de ce mois à la Foire du Livre de Belfort. Il présentera des recueils de poésies et des polars régionaux. 

Voilà, ce sera tout dans l’immédiat, le reste sera dit pendant chaque atelier.

Bonne semaine et bonnes lectures

À bientôt

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Merci d’aller les visiter de temps en temps et puisque vous y êtes, abonnez-vous.

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Rêve enfui et nuit brève

 

- Combien dure une nuit ? 

- Je ne sais pas, la nuit, je dors ! 

- Mais, d’après tes rêves, combien dure ta nuit ? 

- Le temps qu’il faut pour raconter le rêve. Dix minutes environ. 

- Tu as de la chance. Moi, mes nuits sont interminables. Et j’ai beau imaginer les ombres du plafond qui jouent une comédie en noir et blanc, qui se chamaillent, se poursuivent, se rattrapent, dansent et se poursuivent à nouveau… le film n’en finit jamais. Et puis, vient le matin et c’est moi qui suis fatigué !

Conversation plutôt étrange entre deux personnes d’âge éloigné. Et moi, qui balance entre ces deux âges, quand l’insomnie me prend, je me lève et j’écris.

Voici un texte issu d’une nuit d’ennui :

Le reflet de la nuit sur le plafond

Il est trois heures du matin quand soudain
Le sommeil, sans prévenir, va plus loin…
Et tu restes, miséreux, moribond
Allongé, les yeux rivés au plafond

Ton rêve paraît réel, tellement vrai
Que tu crois que d’un seul coup tu pourrais
Modifier, tout à ton gré, son issue
Mais j’ai peur qu’au réveil tu sois déçu.

C’est tout ce que j’ai pu voir sur l’écran de mon plafond cette nuit-là. Ma foi, c’est toujours ça de gagné. Quand on perd d’un côté, si on gagne de l’autre, c’est toujours mieux que de perdre le sommeil sans contrepartie. Le problème, c’est quand ça se répète…

Bonne semaine et bonnes lectures

À bientôt

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Poésie venant de l'espace

 

Cette semaine j’aimerais mettre en évidence un poète peu connu ; un des quatre créateurs du groupe des « Mousquetaires de la Poésie » : Eric Valloni.

Un jour, il est venu en disant : « Regardez, les copains, j’ai écrit ça ! » C’est-à-dire le texte qui suit :

Nées d’un rien

D’un noir anthracite, perdu dans le néant,
Des couleurs ont surgi ! Venant de nulle part.
Naissance surprise. La lumière s’épand
Et se perd dans le rien. Était-ce le hasard ?
Ou un accouplement entre Lune et Soleil ?
Entre Mars et Vénus, ou simplement « un faux » !
Mais, quelle importance, puisque rien de pareil
Ne peut être rêvé sans appareil photo.

En la lisant, il nous avait captivés tant ses paroles découlent comme s’il était en train de parler d’une banalité entre amis, une banalité qui devenait extraordinaire puisqu’il nous parlait des couleurs de l’espace, des couleurs qui naissent du néant !

La poésie est ainsi faite ; elle vous vient impromptue et si vous pouvez l’écrire immédiatement, vous aurez su préserver l’émotion.

Bonne semaine et bonnes lectures

À bientôt

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