Je me souviens d’un de mes collègues de
travail qui disait régulièrement : « Il est d’une amabilité monstre ! »
Et moi, ce contresens me laissait perplexe. Je voyais le monstre. Je ne voyais
pas l’image, l’expression, le mot monstre pour exprimer le grand, l’immense.
A l’époque, j’avais 16 ans et je ne
connaissais même pas le mot correct à utiliser pour désigner cette expression :
oxymore. Mais, cette « amabilité monstre » m’est toujours restée en
tête et dès que j’ai pu la nommer, j’ai essayé de faire d’autres oxymores et de
les réunir sur papier avec ceux faits par 'les autres'.
Plus tard, je les ai même donnés à faire
en atelier et, en voici un de Michelle :
Ses pensées le mènent à l’enfance
A la douceur féroce
Des câlins et des bosses
Des longues journées d’espérance.
TàF : trouver un oxymore et l’inclure
dans un quatrain avec rimes embrassées. Chapeau Michelle, tu t’en es bien
sortie.
D’ailleurs, ce court poème, vous pouvez
le retrouver dans un recueil au titre étonnant : « Poésies E110 :
Couleurs Naturelles » dont vous avez l'image jointe de côté. Il comporte 150 poèmes environ qui expliquent
toutes sortes de poésies. N° ISBN 978-2-9530691-4-3 daté de 2014 et édité chez
MonuMar. Pour se le procurer, écrire à momumar@tiscali.it
ou me contacter (s’il en reste à l’un comme à l’autre). C’est un livre fait
pour ne jamais rester en panne d’idée.
Comme
convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan, Ecrire Pastel, Éric Valloni, et VittorioDenim Bonne lecture et,
n’hésitez pas à partager.
N’hésitez
pas non plus à visiter notre « vitrine » : « Ateliers d’écritureS
68 » pour voir qui nous sommes et ce que nous faisons en atelier. Et,
partagez, partagez.
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