Il n’est pas palpable, on ne peut le toucher et pourtant il nous procure tant de sentiments : la joie, la peine, la colère, la peur, etc. et même l’apaisement ! C’est le rêve.
Tout comme la poésie, le rêve, par ses émotions, nous permet de vivre, voire parfois de survivre. Le poète ou la poétesse deviennent alors marchands de rêves. Mais, attention, la poésie et le rêve n’agissent pas en même temps ; l’un, le poète, officie quand vous êtes éveillés, l’autre quand le marchand de sable vous en a jeté une pleine poignée !
Il peut arriver que l’un déborde sur l’autre. Mais, cet état de grâce n’est pas donné à tous ; la preuve : les machines ne rêvent pas ! Aussi, laissez-vous rêver. Et, au matin, écrivez vos rêves, partagez-les avec les autres humains. Ils vous en seront reconnaissants.
Faites de vos rêves des poésies qui viendront émerveiller nos vies, éclairer nos chemins, susciter des envies, des buts à atteindre, étonner nos esprits. Faites que vos poésies puissent toujours nous donner du cœur à l’ouvrage, des rêves à vivre ; de l’allant, tout simplement. Merci.
Et ce sera tout pour aujourd’hui.
Bonne semaine et, dites-moi si vous avez aimé.
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Antoine Askman ; Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim
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