Et voici que tout à coup le froid nous surprend. Pourquoi ? Puisque nous sommes en hiver ! Et même, pendant la période la plus froide de l’hiver.
On dit de janvier qu’il apporteLes jours de neiges à nos portes.
Oublie-t-on que ce blanc manteau,
C’est nos semailles qu’il garde au chaud.
Alors, on reste bien au chaud et on regarde par la fenêtre. La neige tombe, pellicules des nuages plutôt que pleurs. Tout devient blanc, couverture posée pour réchauffer la nature pendant son sommeil récupérateur. Reste la poésie… à qui sait la voir.
La neige recouvre doucementLes maisons, les bois et les gens.
Tout est calme. Les loups n’existent plus
Que dans les villes et les cités perdues.
Chacun rentre chez soi se mettre à l’abri des intempéries. Même les loubars ! Pour les loups, par contre, tout devient plus difficile. Pour les autres animaux aussi. Et ainsi le temps est modifié ; reste la poésie… à qui sait la voir.
Maintenant, tout est ralentiLa saison va durer trois mois
Le jour ça va mais c’est la nuit
Qui m’invite à penser à toi
Tout s’endort ? Pourtant notre société mécanisée ne le permet pas ! La nature suit et suivra son cours avec ou sans toi, malgré les impératifs modernes imposés par l’homme pour l’homme. La nature n’en a que faire, elle vit, elle nous fait vivre, elle nous sauvegardera malgré nous. C’est cela la poésie… à qui sais la voir.
(Ces trois détails sont tirés de ‘150Nuances de Poésies’ ; de la poésie pour qui sait l’avoir.)
Bonne semaine et bonnes lectures
À bientôt
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures, avidoxe ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman ; Dina de Dan ; V.DiMarco et VittorioDenim
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