Cris et déchirures

 

 un peu de philosophie

C’est peut-être dû à la période ; trop de bien-être nous a fait oublier que le bonheur est fragile, qu’il nous faut entretenir le feu sinon il s’éteint !

Mais d’année en année, les années nous emportent
J’ai entendu pleurer, plus loin j’ai vu danser
Que doit-il se passer pour agir de la sorte
Si la vie par la mort doit se renouveler

…

(Texte tiré, page 61, du poème « Pleurez, Dansez » du recueil « Douze en chiffres et en lettres »

Mais nous y sommes ! Voici le malheur qui frappe à nos portes. Qui frappe… mais il a le bruit des bombes !

L’humain ne comprendra-t-il jamais ?

Quelques rayons de soleil
Vont se posez doucement
Sur un homme qui sommeille
Pour l’éternité, cœur en sang
La mort sourit

(Texte tiré, page 20, du poème « Suite d’images » du recueil « Château et Doublons »

Rien n’est jamais acquis, il nous faut sans cesse marcher sur le chemin de l’amitié, l’embellir de bonnes paroles pour en chasser les maux, y ajouter des nuances de couleurs afin d’éviter l’ombre qui mène progressivement à la nuit !

Heureusement qu’il nous reste des poètes pour nous donner espoir :

Regarde à travers
L'ancienne saison qui fuit
La nouvelle arrive

Haïku de Marie-Christine

Bonne lecture

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Merci d’aller les visiter de temps en temps et puisque vous y êtes, abonnez-vous.

N’hésitez pas non plus à visiter notre vitrine pour les Ateliers d’écritutreS : « ADES68 – Riedisheim » pour voir qui nous sommes et ce que nous faisons en atelier. Et, partagez, partagez.

Dîtes-le avec des flirts

 

Hé, les gens, c’est le printemps. Propagez la nouvelle, au besoin, dites-le avec des flirts ! Le renouveau est là. La nature l’a bien senti et nargue les mauvais esprits. Tant pis pour eux : ils sont partis perdants, ils sont partis face à la nature et la nature a toujours le dernier mot !

Alors, voici quelques poésies sur le printemps :

Extrait de « MARS » tiré du recueil « Douze en chiffres et en lettres » 

…
J’ai vu un oiseau noir et blanc
Qui piaillait : « Je viens annoncer
Le retour prédit du printemps ;
L’hirondelle est son messager. »
…

Extrait de « C’est le printemps » tiré du recueil « Poésies sans colorant » 

…
Le temps d’hiver touche à sa fin.
La nature annonce à tous les vents
Que tout ce qui vit sache bien
Que c’est le retour du printemps.
…

Extrait de « Tout allait pour le mieux » tiré du recueil « En vert la Vie » 

…
J’ai rencontré madame Durand
Et, pour une fois, elle m’a souri
Ça, aucun doute, le printemps
Agit aussi sur les souris
…

Extrait de « Le printemps des oiseaux » tiré du recueil « Douze enchiffres et en lettres » 

…
Dès que le printemps nous revient, avec son lot
De nouveautés - les près fleuris, les arbres verts,
Les jours plus longs… - je vais surveiller les oiseaux
Qui sont revenus de leur migration d’hiver.
…

Désolé, je n’ai pas mis les textes en entier mais je n’ai pas mis toutes les poésies non plus ! Je ne veux pas vous assommer et il y a un manque de place, aussi ! Éventuellement, je peux mettre tel texte ou tel autre sur demande… de toute façon, ils sont dans les recueils énoncés.

Bonne lecture

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Merci d’aller les visiter de temps en temps et puisque vous y êtes, abonnez-vous.

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Dernier rempart : la poésie

 

Il parait que la poésie n’a plus la côte ! En même temps, on nous annonce que la guerre à nos portes. Quelle en est la corrélation ? Qui a commencé ?

Comme on dit : «  Qui vivra verra ! »… qui arrêtera en premier !

En attendant, voyons à quoi sert la poésie :

1 - Haïku :

La guerre a tué
De l’humain au végétal
Triste vérité

2 - Pamphlet

Je casse tout ce qui me plait
Et je le mange si je l’aime
Je m’en fous, j’habite un palais
Je manipule le système
Maintenant dites qui je suis
Je veux vous aimer, je m’obstine
Je suis assassin, abruti
Car je suis …

Comme on peut le lire ci-dessus, le poète n’est pas seulement ce rêveur qui tend l’autre joue ; il y en a aussi qui disent la vérité avec des haïkus, d’autres qui réagissent avec des pamphlets (c’est aussi de la poésie !) et d’autres encore qui écrivent des Hymnes ! (C’est encore de la poésie !)

Un jour, la guerre s’arrêtera. Soit parce que les commandeurs assassins ne sont pas éternels, soit parce qu’un poète l’aura convaincu. Mais la poésie sera toujours là, présente. Voilà pourquoi on essaie de faire taire le poète !

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Merci d’aller les visiter de temps en temps et puisque vous y êtes, abonnez-vous.

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Les mots couleur grenadine

 

Il est des mots qui nous inspirent des couleurs. Des mots rouge sang, vert pomme ou cœur grenadine (comme le chante Laurent Voulzy) ! Il est des mots couleurs.

Mais ces mots sont le plaisir des oreilles et des images pour l’esprit. Des mots sans lesquels le monde aurait des nuances anthracite, charbon ! Et qui aimerait vivre dans un monde gris ! Personne. 

Haïku de Marie-Christine :

L'espoir dans le cœur
Elles offrent leur doux parfum
Les fleurs du printemps

La poésie nous amène de la couleur dans notre monde qui est parti du noir, du vide, du néant. Parfois, il risque d’y retourner… Heureusement les vrais humains sont là qui veillent et les poètes nous aident à soigner nos blessures, à effacer les maux, par des mots apaisants.

Nous vivons sur un fil. Nous avançons sur un fil. Un trait noir sur une page blanche, pas encore écrite. Des gens bêtes tentent d’y faire des taches à l’encre noire, de faire rimer bombes avec tombes… et les vrais humains tâchent d’y faire des dessins de toutes les couleurs.

Il parait que les chiens voient le monde sur des nuances de gris… pourtant les chiens sont moins bêtes que ces gens bêtes puisque les chiens, des animaux parait-il, ont de affection pour les humains…  

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