Bonjour. Toujours soucieuse de vous faire connaître un autre visage de la poésie, cette semaine ce sera sur un sentiment qu’on pourrait croire beau alors que c’est le pire, celui qui ronge de l’intérieur et détruit tout : La jalousie d’où le titre : « Otello », 1887, de Giuseppe Verdi. Si dans le dernier post vous avez eu droit à l’humour, voici autre chose et c’est dans le recueil : « Les trois Visages de l’amour » par Vittorio auteur ; poète et philosophe.
Voler plus loin que les nuagesPartir à deux mais sans bouger
Visiter tous les paysages
Par l’amour, marqués
…
Puis vient l’épée, qui vous transperce
Aux premiers battements des yeux
Les premiers mots, faux, qui vous bercent
Le doute, le feu
…
C’est de la jalousie
L’amour sans partage
Les mauvais présages
Qui gâchent la vie
Pareil que pour les autres fois, je ne vous mets pas tout, pour vous laisser le plaisir de lire cette merveilleuse poésies, chez vous, bien assis(e), afin d’en saisir le sens, les dangers aussi ! Mais, je vous mets la fin :
Se savoir heureux, déchiréPlein d’espoir et malheureux
Prêt à tout afin de garder
De l’être, le feu…
C’est ça la jalousie
L’amour sans partage.
Oui, c’est un sentiment bien étrange capable d’associer en soi plusieurs sortes d’oxymores comme « heureux » et « déchiré », « plein d’espoir » et « malheureux » ! C’est en page 88 et 89 de « Les trois Visages de l’amour ».
Et la poésie continue. Heureusement ! Bonne semaine.
Comme convenu avec mes amis blogueurs, voici ce qu’ils font : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; avidoxe et VittorioDenim

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