Quand je ne pourrai t’offrir
Que mes soixante ans
Et des poussières
J’aurai encore
De l’amour pour toi
….
Quand tu verras dans mes yeux
Les mots que mes mains
Avaient soufflé
Tant sur ta peau
Que dans ton esprit
…
Laisseras-tu allumé
Le chemin jardin
Où j’attendais
Pour de semblant
Ton accord acquis
…
Etc… etc.
Pour moi, c’est un excellent compromis entre le haïku est le tanka. Vittorio a cette façon d’inventer des nouvelles formes de poésies. On peut le voir dans son recueil sur les « Sonnets-Brefs ». Ici, les pieds sont de 7/5/4/4/5 et ça ne rime pas ! Et c’est sur 2 pages, 95 et 96, de « Les trois Visages de l’amour ».
Et la poésie continue. Heureusement ! Bonne semaine.
Comme convenu avec mes amis blogueurs, voici ce qu’ils font : Atelier d’écritures ; cap. Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; avidoxe et VittorioDenim


